Caroline Pierret – dite Caro – Recherche de financement

caroline

Photo Patrick Lazic

Est-ce que tu peux te présenter ?

Je m’appelle Caroline, je suis arrivée à Terre & Humanisme en 2015. Tout d’abord au poste de responsable communication. Puis mon poste a évolué, j’ai commencé à faire de la recherche de fonds ou ”fundraising”, en parallèle de la communication. En 2017, nous avons décidé de diviser mon poste en deux, pour que je puisse me consacrer entièrement à la recherche de fonds, et nous avons recruté Léa, maintenant chargée de communication.

Qu’est-ce que te plait le plus dans ton métier ?

Ce qui me plait dans mon métier, c’est les relations à long terme avec les entreprises et les mécènes, comprendre quelles sont leurs attentes, savoir de quoi elles ont envies, pourquoi elles veulent financer nos projets. C’est vraiment la construction d’une relation sur le long terme. J’aime les affinités que l’on peut créer et entretenir, la relation humaine avec les partenaires.

Pourquoi as-tu choisi Terre & Humanisme ?

Je considère vraiment Terre & Humanisme comme une association particulière, dans la mesure où elle met beaucoup l’Humain en avant. L’originalité de la gouvernance partagée est très enrichissante pour l’ensemble des salariés, la co-création des organes de gouvernance apporte un vrai plus, libère notre créativité ! J’ai eu vraiment une révélation en travaillant ici.

Est-ce que tu as un moment pépite à nous raconter ?

Il y a deux moments qui m’ont marquée depuis que je suis à T&H. Tout d’abord, un financement du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, que l’on a reçu grâce à Pierre Rabhi, qui a été récompensé de la légion d’honneur, Ségolène Royal était alors ministre, et elle a demandé à Pierre ce qu’il lui fallait, il a répondu “des moyens pour les projets”, dès le lendemain nous avons présenté deux projets : la formation des animateurs en agroécologie et le parcours pédagogique des jardins. Un mois plus tard, on a reçu le financement pour ces deux projets ! Et en 2019, la fondation Salvia s’est engagée sur 3 ans, pour un financement de la formation des animateurs en agroécologie, qui nous permet de soutenir le déploiement de ce réseau d’ambassadeurs de l’agroécologie.

Dernière question, si tu étais un végétal…?

Si je devais être un végétal, je choisirais le coquelicot ! C’est une plante simple, fraîche, vive. Fleur des champs, elle est libre.

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