Les marchés d’hiver s’achèvent tranquillement alors que les cultures de printemps se préparent activement. Jean, notre maraîcher, épaulé par Manon, sont à pied d’œuvre !

On profite du début de saison pour faire du rangement, reprendre les chantiers collectifs, mais aussi pour se réunir et prévoir la suite.

Cette année, nous souhaitons mettre l’accent sur :

 

Nous organisons leur arrivée par une petite révision du parc matériel, l’amélioration des espaces partagés (bureau, cuisine, local de stockage) et des petits travaux de rénovation ou d’aménagement.

En attendant une installation en bonne et due forme, nous accueillons pour le moment Carole, une stagiaire qui termine sa formation en BPREA aussi soucieuse d’apprendre que d’échanger en apportant un éclairage bienvenu grâce à ses nombreuses expériences passées.

  • L’accueil du vivant sur la Noria. Avec l’aide de Joseph, notre chargé de mission recherche-action, nous posons les bases théoriques et pratiques pour développer des habitats sauvages au cœur de la ferme, et suivre leur évolution avec l’aide des habitants, de bénévoles ou partenaires. Nous prévoyons (entre autres !) l’installation de mares et de nichoirs, la plantation de bandes fleuries pour attirer les pollinisateurs, le recensement des espèces (ver de terre, insectes, reptiles…), la création d’indicateurs et d’outils de suivi facilement compréhensibles.

Arnaud, jardinier-formateur, fait le lien avec le réseau des Fermes Paysannes et Sauvages. En avril, la Noria accueillera la première réunion du sous-groupe Ardèche Sud – Gard Nord.
En attendant, nos chantiers participatifs ont repris avec une première journée de travail consacrée à l’aménagement d’une première mare.

  • Du partage et des échanges avec le territoire. Depuis le début notre projet est d’ancrer la ferme sur son territoire en dialoguant avec les habitants, les associations et les institutions et ainsi créer une dynamique inclusive, solidaire et systémique en faveur de l’agroécologie. Un atelier d’initiation au compostage domestique a été organisé mercredi 27 mars pour sensibiliser sur cette pratique devenue indispensable mais encore largement méconnue dans sa mise en œuvre.

 

D’autres activités et projets suivront afin de favoriser le compostage des matières organiques consommées sur le territoire, par des particuliers ou dans des établissements professionnels.

Un deuxième repas solidaire s’organise pour début avril, pour répéter la joyeuse expérience de février, en partenariat avec la mairie de Robiac-Rochessadoule, le Centre communal d’action sociale (CCAS) et des habitants bénévoles.

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